Il ne faut toutefois pas confondre le transmedia avec le crossmedia, qui consiste à décliner un même contenu sur plusieurs plateformes. La différence, c’est que la narration transmedia utilise des plateformes différentes (TV, web, réseaux sociaux, mobile), chacune proposant des contenus complémentaires et qui se répondent. Autre particularité : l’interactivité. Les contenus transmedia invitent les spectateurs à participer, voire à être l’un des maillons de la chaîne de création du programme.
Quelques exemples de contenu transmédia :
Une série de TF1 dont les téléspectateurs peuvent influencer le scénario sur le blog de l’héroine. Une websérie non-linéaire sur Arte, dont les personnages existent sur Facebook et Twitter, et dont les spectateurs peuvent naviguer entre une centaine de modules diffusés sur le web et le mobile, dans l’ordre ou le désordre. Un jeu qui s’articule autour d’un site communautaire, d’une série télé et d’un jeu de cartes à collectionner…
Lire Les programmes transmédia s’apprêtent à débarquer dans L’expansion.com.