Mindmeister : Pour créer mes cartes cognitives. Pas un grand utilisateur mais j’ai aimé les quelques fois que je l’ai utilisé.
Todoist : Gère ma liste de choses à faire. Sur le web, sur les mobiles, sur les principaux fureteurs.
List.it : Un module d’extension Firefox qui permet de placer des notes, des urls dans un panneau à gauche de la fenêtre principale. (Un des modules qui me fait encore utiliser Firefox).
Veille
Mention : Un des rares services web de veille médias et tous les réseaux sociaux que j’utilise (ayant tendance à privilégier des outils différents pour chaque réseau).
Pulse : Un lecteur de flux RSS dont l’interface me plaît particulièrement (mais ne me fera jamais quitté mon NetNewsWire) et qui vient tout juste d’être acquis par Linkedin.
Qwant : Un moteur de recherche français dont l’interface est elle aussi attrayante.
Divertissement
Tubetime.com : un guide télé interactif, un lien vers vos réseaux sociaux … et une télécommande dans votre cell.
Bandcamp : le Facebook des artistes musicaux émergents … ça me fait écouter autre chose que le “bon vieux rock”.
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Il n’aura jamais été plus vrai que maintenant que le web est à propos de la conversation, le fameux web 2.0 . Selon les analystes de socialbakers, le nombre de questions posées sur les pages Facebook des compagnies a augmenté de 30 % … et le temps de réponse a lui aussi augmenté à 22,6 heures. Dans son billet ”Do Facebook ‘Likes’ Mean Loyal Customers? “, Luke Brynley-Jones nous apprend par ailleurs qu’alors que 50 % des “ami(e)s d’une page corporative Facebook s’attendent à recevoir de l’aide et du support, seulement 10 % des administrateurs/trices mettent l’accent sur le service et le support après-vente !
Il me semble bien qu’on disait que les aventures de Tintin avaient été écrites pour les 7 à 77 ans. Quel bonheur pour un(e) responsable du marketing ou de la communication : une seule place pour rejoindre tout le monde. Malheureusement,
Selon comScore dans son 2013 Digital Future in Focus, 3 publicités sur 10 ne sont jamais vues et passent inaperçues.
Selon une étude portant sur 4 000 pages Facebook corporatives, seulement 17 % des fans en moyenne verraient les statuts publiés dans ces pages.
De son côté, Le fascicule «Internet comme source d’information et mode de communication » du Cefrio nous apprend que chez les adultes de 18 à 24 ans, c’est Internet qui est la principale source d’information pour consulter l’actualité et les nouvelles dans une proportion de 44 % alors que 50 % des adultes de 35 à 44 ans et 54 % des 45 ans et plus préfèrent d’abord la télévision.
Mercredi dernier, Rachel Sterne, Chief Digital Officer de NYC Digital a présenté lors d’une visio-conférence cette initiative qui vise à faire de New York la première ville numérique du monde. L’événement était organisé par DémocratieOuverte, l’Office de consultation publique de Montréal et le Consulat général des États-Unis.
Créé en 2011, NYC Digital agit sur cinq fronts : l’accès à Internet, l’éducation, le gouvernement ouvert, la participation publique et enfin, la promotion économique. Cette agence coordonne la communication numérique avec la population, crée des partenariats public-privé au service des New-Yorkais(es) et soutient l’industrie locale.
Voici quatre énoncés de Rachel Sterne que j’ai trouvé particulièrement intéressants :
1. Faire choisir pas seulement faire réagir
Consulter signifie plus souvent qu’autrement que la population est appelée à réagir à des décisions prises par les autorités. C’est ce que j’ai fait dans ma pratique de participation publique à Hydro-Québec, c’est ce que fait l’OCPM dans la très grande majorité de ses dossiers. Or, pour déterminer à quels endroits installer les stations de vélo libre-service, l’équipe de madame Sterne a créé une carte interactive sur laquelle les citoyen(ne)s indiquaient ou appuyaient les endroits où les installer au lieu d’avoir choisi des emplacement et de leur demander leur opinion.
2. Aller là où les gens “surfent”
Madame Sterne a expliqué que la stratégie de NYC Digital repose sur les utilisateurs. “Au lieu d’obliger les gens à venir sur notre site, nous trouvons les lieux (virtuels) où ils échangent et c’est nous qui allons vers eux”, a-t-elle expliqué. C’est ainsi que NYC Digital rejoint chaque 6,3 millions de personnes : 3 millions sur les réseaux sociaux et 3 millions qui viennent sur le site de NYC Digital. Autre exemple, afin d’informer la population sur les zones à risque lors de l’ouragan Sandy, NYC a fait en sorte que les données soient disponibles pour les médias qui ont eux créé des cartes sur chacun de leurs sites.
3. Faire attention aux a-priori
L’approche de madame Sterne repose aussi sur des faits, des mesures. Ainsi, a-t-elle mentionné, un sondage a permis de se rendre compte que les personnes à faible revenu n’avaient pas d’ordinateur … mais utilisaient leur cellulaire pour se connecter à Internet. Comme quoi il peut être risqué de baser une stratégie sur des préjugés. Un récent billet de Nadia Seraiocco vient d’ailleurs le confirmer :
On constate donc que, dans les familles moins favorisées ou qui ont un niveau d’éducation moins élevé, les adolescents auront moins de possibilités d’accéder à Internet dans leur foyer. On peut donc imaginer que, dès qu’ils ont les moyens de se payer un appareil ou un service de données, leur accès au web se fait exclusivement par leur téléphone. Et les conclusions de l’étude vont aussi dans ce sens.
4. La nouvelle “geek” génération
Deux exemples cités par madame Sterne m’ont fait réaliser que la nouvelle génération est probablement plus cultivée technologiquement que bien des responsables des communications au sein des organisations. Ces deux exemples sont les “hacketons” organisés par NYC Digital et Code Corps, un programme dans lequel des technologues bénévoles aident la ville lors de situations d’urgence.
Voici la conférence de madame Sterne. Vous pouvez aussi vouloir consulter le billet de Mario Asselin, L’exemple de la ville de New York.
C’est en créant un document dans Google Docs que l’idée de ce billet … et un souvenir … m’est venu. Celui de mon premier disque rigide HD20 que j’ai acheté en 1986 pour rien de moins que 2 500 $ … fallait vouloir.
Ça n’a rien à voir avec le RAMAC 305, gros comme deux réfrigérateurs, d’une capacité de 5 megs et à 10 000 $ le meg … en 1956.