Internet et la politique

La bataille du Pay-per-clic a débuté aux États-Unis. Au Québec, il y aurait au moins le député fédéral bloquiste, Stéphane Bergeron, qui “utilise Google pour faire de la publicité politique, une innovation avec laquelle le Directeur général des élections (DGE) ne sait pas encore comment composer.”

MAJ du 21 février 2007
Et maintenant le canal YouTube du Parti conservateur du Canada, conservateur en politique mais pas en stratégie. Pas mal mieux, à mon humble avis, que Bondebarras.tv du Parti Québécois.

MAJ du 24 février 2007
Et voilà que le PQ débranche Bondebarras.tv. Ils auraient pu au moins franciser la page Error 403 – Forbidden :-). De son côté, Dominique Ritchot, candidate de Québec Solidaire dans Pointe-aux-Trembles, doit justifier ses propos sur un forum de discussion à la suite d’un acte de vandalisme contre un porte-parole de l’industrie pétrolière. Les écrits restent n’est-ce pas.

MAJ du 2 mars 2007
Le PLQ aurait acheté les noms de tous les députés péquistes pour proposer des liens à son site. Lire l’article d’Antoine Robitaille: “Louise Harel vous mène à PLQ.org“. Pas certain que cette manière de procéder respecte le code d’éthique de Google.

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